Le Cancer et le Pardon

Soigner le corps avec le Reiki

Le Cancer et le Pardon sont comme l’Amour et la Haine

Le cancer montre le mal au service du bien ; le Pardon .

La maladie de l’ego ; c’est bien Le cancer. Concernant les deux opposés ; Le cancer et le Pardon. C’est vraiment cet entêtement à se croire isolé du reste. l’incapacité de se perdre dans plus grand que soi.

Le cancer montre le mal au service du bien ; le Pardon« Il montre non seulement combien corps et esprit sont refoulés l’un de l’autre, comme les deux côtés d’une médaille sont isolés alors qu’ils ne font qu’un – une – médaille… Ou comme le complexe et le conclave *. Le cancer montre aussi comment une partie perd son sens lorsque elle est séparée du tout.

 Or, le cancer peut tuer le corps, le ronger, dont il détruit le sens de l’ensemble en refusant d’être une cellule au service de tout le corps. Et dans ce processus il se détruit lui-même. Puisque le cancer qui persiste ne peut mener qu’à la mort de ce qu’il veut s’approprier. À la fin, tous les partis sont perdants. »

                                                                                                   Placide Gaboury   
Le cancer et le Pardon, suite par Dom.

Et le pardon ?

  Le pardon est un acte de grâce qu’il faut s’offrir à soi. Se pardonner à soi d’avoir subi des traumatismes dans le passé. A commencer dans la petite enfance. 

 

…Placide Gaboury écrit ceci ; « trop détester ou trop aimer, c’est égal. C’est le trop qui les identifie. On ne désire que parce que l’on souffre – on désire en sortir. On ne souffre que parce que l’on désire – on ne possède pas encore ce qui nous en ferait sortir. Or, il n’existe que le présent. Lui seul nous guérit de tout. C’est d’arriver au présent qui compte. Et ceci est le plus difficile. Mais c’est vraiment cela que l’on cherche. La seule position possible, c’est dans l’acceptation de tout ce qui est. Vivre pleinement l’ici et maintenant avec toutes ses frustrations et toutes ces satisfactions. Prendre la bouchée entière, sans rien refuser, sans cracher la partie amère. »

… Je ne peux qu’ètre d’accord avec lui. Dès le départ de la vie, le système éducationnel, ne nous apprend pas à vivre dans le présent. Mais plutôt de se dépêcher d’envisager le futur. « Qu’est-ce que tu veux faire quand tu seras grand ? ». Trop de sévérité pour cadrer l’enfant et l’adolescent, ne lui laissant pas le choix de dire oui de dire non. Ni la possibilité de défendre ses droits. Punitions, mauvaises notes, humiliations, privations, morale incessante, paroles blessantes, poussés à la compétition, à devoir sans cesse se comparer aux autres… autant de micros traumatismes.
  Au cours de mes 20 ans d’enseignant de bien-être et spiritualité, de développement personnel, j’ai compris, à commencer par moi à mes débuts, puis de l’avoir enseigné et conseillé aux autres, que le pardon ne peut se pratiquer que au présent. Le vrai pardon. Je rejoins Placide Gaboury sur son propos. Mais il convient de se pardonner à soi d’abord..


…. Placide Gaboury écrit aussi ; « pour être en paix, pour être le maximum au présent, il faut accepter. Accepter que l’autobus soit en retard – et retardera mon arrivée – arriver en retard au travail, oublier un rendez-vous de famille – anniversaire ou autre – être en retard pour récupérer les enfants à l’école. Accepter que la poste soit lente. Qu’il pleuve un jour que l’on avait prévu une sortie. Accepter d’être enrhumé, d’avoir manqué un programme favori. Accepter que nos attentes soient contrariées. Tout accepter. Accepter d’avoir été abandonné, rejeté, délaissé, accepter de n’avoir pas été aimé, trahi, jugé, accepter d’avoir été découvert. Accepter tout rondement la totalité, comme le cercle qui contient à la fois le yin et le yang.
Comme la vie qui contient la peine et la joie, la frustration et le plaisir, le passé et l’avenir.

Voir toutes choses comme elles sont, à commencer par nos passions, nos envies, nos insatisfactions, nos impatiences, nos rages, nos instincts meurtriers, l’intolérance, la domination et la possessivité. Apprendre à les reconnaître. Observer.

Les voir apparaître dès qu’un événement nous touche et nous ébranle ; devenir sensible à la façon dont on réagit à tout. Et reconnaître intérieurement, avec un simple étiquetage, chacune de ces réactions ou émotions ; colère, poussées sexuelles, peurs, jalousie, contentement, jugement, amour, séduction. Quand une personne désagréable nous parle, dépister en soi la réaction émotionnelle qu’elle déclenche ; aversion, mépris, impatiences, critiques, jugement, rejet de l’autre, sentiment de supériorité pour le tenir à l’écart.
S’entraîner à cela. S’
Observer.

Avec l’entraînement, on se rendra compte ainsi de deux choses ; que le fait de nommer la réaction la neutralisait graduellement, lui fait perdre son aspect dramatique, par simple observation de ce que l’on ressent.

Deuxièmement, que d’observer en nous et reconnaître ce que l’on ressent, par exemple la colère  crée un détachement vis-à-vis de ce qui se passe avec l’autre, et on se sentira de moins en moins identifié, qu’on le verra de plus en plus comme une chose qui n’est pas le vrai nous, qui ne nous engage pas vraiment, qui n’a pas de « JE ». Un simple processus de réaction émotionnelle à ce qui nous dérange. »

Je continue avec le pardon…

… Par conséquent, se pardonner ça à soi modifie les tribulations de la pensée, avec répercussions sur les mémoires des cellules. Le plus remarquable ; sur la reprogrammation de l’ADN. Modifie également les vibrations énergétiques des sept centres principaux – les sept chakras, siège des mémoires karmiques dans le corps. De ce fait, on comprend l’utilité du mal au service du bien ; le cancer pour comprendre le Pardon. Pour cela Il convient de s’intérioriser, de partir du principe que le cancer est une maladie, donc quelque chose de négatif, et reconnaitre que lorsque quelque chose est négatif c’est qu’il manque de l’amour. Il ne reste plus qu’à chercher à quels endroits de notre vie on n’a pas mis d’amour. Qu’on n’a pas su y mettre l’amour de soi. Et depuis combien de temps, d’années. Depuis quand.
Et ainsi, commencer un processus de pardon, répétitif ; sur chaque action où on n’a pas mis d’amour…

 Une fois les traumatismes de la petite enfance pardonnés en soi, véritablement, pas qu’avec « la tête », ce qui est pertinent, il est absolument nécessaire de pardonner aux Le Pardonparents, aux tuteurs, aux éducateurs …
De cause à effet, c’est ainsi que l’on cesse définitivement de détester. De se ronger, de l’intérieur. Le mal est ainsi. Il n’est qu’au service du bien ; Le cancer guérit ou diminué par le Pardon.

 Il existe plusieurs techniques pour apprendre à se pardonner puis apprendre à pardonner aux autres. La meilleure de toutes les techniques du pardon est sans contestation possible celle qui donne le vrai résultat ; la paix et le bonheur.
De l’esprit et du corps.

 En conclusion, ne plus etre perdant ; par manque d’unité esprit-corps-Tout (le Tout – le plus grand que soi).
 Etre ? … etre une cellule du Tout. Ça serait ça « être dans le cœur ».
                                                                       Dom.Jeambrun

 

* Complexe / conclave  ; Le ciel étoilé : comme si le Tout méditait, et qu’il enfantât ces lois, dans un inextricable mélange de simple et de complexe, et dans un effort qui engendrât masse, temps, lumière et espace, sans les distinguer, les faisant se courir l’un après l’autre dans une relativité sans issue.
Valéry      «  l’enfer du penseur ».

valéry m'enfer du penseur

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